Le riche musée des Beaux-Arts et d’Archéologie se trouve dans la commune de Libourne, département Gironde.
Nom d’usage (si applicable) : musée des beaux-arts de Libourne
Domaines thématiques : que voir au musée des Beaux-Arts et d’Archéologie à Libourne ?
Le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie traite de la/des thématique(s) suivante(s) :
Antiquités etrangères : Grecques et romaines;Archéologie nationale : Préhistoire, Protohistoire, Gallo-romain, Paléo-chrétien, Médiéval, Moderne;Art moderne et contemporain;Art religieux;Arts décoratifs : Verrerie;Beaux-Arts : Dessin, Estampe et Affiche, Sculpture;Civilisations extra-européennes : Africaines, Américaines, Asiatiques, Océaniennes;Collections militaires : Armes, Artillerie, Uniformes, Armures;Photographie, Moulages, Numismatique;Ethnologie : Métiers et Outils;Histoire : Histoire locale et régionale;Musique : Instruments;Sciences de la nature : Herpétologie, Minéralogie. Peintures, sculptures, dessins et estampes des écoles française, italienne, hollandaise et flamande datant du XIVe au XXe siècle. Parmi les peintures les plus remarquables, figurent : Le Portrait d’une Dame de qualité attribué à Sofonisba Anguissola (1530-1620) ; Le Christ chassant les Marchands du Temple de Bartolomeo Manfredi (1582-1622) ; Trois Têtes de Vieillard du peintre baroque flamand Jacob Jordaens (1593-1678) ; Le Retour du Fils prodigue du vénitien Gerolamo Bassano (1566-1621). La peinture néoclassique et la peinture d’histoire du début du XIXe siècle sont représentées par L’Etat primitif de l’Homme de Jean-Charles-Nicaise Perrin (1754-1831) et la Réception du Duc et de la Duchesse d’Angoulême venant présider les élections législatives à Bordeaux en 1815 de Benjamin de Rolland (1777-1855). La peinture locale du XIXe siècle est représentée par Théophile Lacaze (1799-1846), peintre d’histoire romantique et par le peintre animalier René Princeteau (1843-1914), ami et maître de Toulouse-Lautrec. Le musée conserve un riche ensemble de peintures, aquarelles, dessins de Princeteau, sur le thème des chevaux comme Avant le départ, La Banquette irlandaise ou L’Amazone. Les oeuvres de Raoul Dufy (1877-1953), Léonard Foujita (1886-1968), Roland Oudot (1897-1981) et d’Yves Brayer (1907-1990) témoignent des recherches stylistiques des artistes réalistes de la première moitié du XXe siècle. Parmi les sculptures les plus remarquables, figurent : Saint Jean-Baptiste, albâtre, Espagne ( ?), début du XVe siècle ; Scènes du Jugement Dernier, trois plaques d’albâtre, Angleterre, XVe siècle ; La France éplorée sur le buste de Louis XV par Etienne Maurice Falconet (1716-1791) et Augustin Pajou (1730-1803) ; Elie, duc Decazez et de Glucksbierg par Jean-Louis-Nicolas Jaley (1802-1866) ; Buste de la doctoresse Fabre par Charles Despiau (1874-1946). En outre, sont présentés des verres émaillés réalisés par le libournais Nicolas Jean Alphonse Giboin (1828-1921)..
Les artistes représentés : Sofonisba Anguissola, Bartolomeo Manfredi, Jacob Jordaens, Gerolamo Bassano, Jean-Charles-Nicaise Perrin, Benjamin de Rolland, Théophile Lacaze, René Princeteau, Raoul Dufy, Léonard Foujita, Roland Oudot, Yves Brayer
Le musée des Beaux-Arts de Libourne est né de la volonté du duc Elie Decazes (1780-1860). A partir de 1818, alors qu’il venait d’être nommé Ministre de l’Intérieur par Louis XVIII, il fit envoyer à dans sa ville natale des oeuvres majeures qui seront les premiers dépôts de l’Etat et le fonds constitutif du musée des Beaux-Arts. Tout au long du XIXe, du XXe siècle et aujourd’hui encore, profitant de donations, de legs (Brulle, Giboin, d’Alibert, Moueix…), d’achats et de dépôts de l’Etat, le musée s’est enrichi considérablement. Accueillies jusqu’en 1836 au Couvent des Ursulines, site de l’actuelle Médiathèque municipale, les collections furent transférées par la suite dans les locaux de l’Hôtel de Ville datant du XVe siècle et agrandi à la fin du XIXe siècle. Actuellement, un choix d’oeuvres appartenant aux collections du musée des Beaux-Arts est présenté au deuxième étage de l’Hôtel de Ville dans les salles d’expositions permanentes rénovées et restructurées en 2010. La chapelle du Carmel est devenue, depuis la fin des années 1980, la salle d’exposition temporaire du musée des Beaux-Arts. Deux expositions y sont proposées annuellement.
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Personnage(s) phare(s) lié(s) au musée : non applicable
Informations pratiques
- Pour s’y rendre : 42 Place Abel Surchamp / Ville : Libourne / Code postal : 33500 / Région : Nouvelle-Aquitaine
- Téléphone : 05 57 55 33 44
- Tarifs et heures d’ouvertures à retrouver sur la page officielle du musée
- Page web : www.libourne.fr/culturelle/musee-des-beaux-arts
Vidéo relative :
Les points positifs de fréquenter un musée sont divers et variés. Les musées sont des lieux qui offrent une chance éducative, amusante, inspirante, calmante, socialement interactive et de préservation. En fréquentant un musée, vous pouvez apprendre de manière captivante sur des sujets tels que le passé, l’art, les arts et la recherche scientifique.
Les présentations peuvent approfondir vos horizons et approfondir davantage votre compréhension de thématiques particulières. Les musées sont également conçus pour offrir une cadre paisible et relaxante, ce qui peut aider à soulager le stress et l’anxiété. Ils peuvent inspirer votre créativité et votre imagination, et offrir une chance de croiser de nouvelles gens partageant les mêmes centres d’intérêt que vous. Les musées sont également importants pour la conservation et la sauvegarde du passé culturel et historique.
Dans l’ensemble, visiter un musée est une expérience enrichissante qui peut offrir de multiples avantages et point de vue uniques.